L’économie mondiale est-elle dominée par une poignée de sociétés transnationales, elles-mêmes contrôlées par une poignée d’actionnaires ?
Réalité ou phantasme ? Une étude y répond.
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Nul ne l’ignore, le réchauffement climatique dessine de très sombres perspectives.
La preuve commence à être faite que la technologie est et sera incapable d’apporter des solutions à l’échelle du problème, même avec des réponses très ambitieuses.
Il semble bien que l’économie soit également très dépourvue devant cette menace pourtant dévoilée depuis longtemps.
Devant l’urgence, c’est donc au réexamen du projet de société, c’est à dire du projet politique, qu’il faut procéder.
La croissance exponentielle indéfinie de la consommation matérielle n’étant pas possible, quelles sont les autres projets proposés ? Tel est l’objet de cette rubrique.
L’économie mondiale est-elle dominée par une poignée de sociétés transnationales, elles-mêmes contrôlées par une poignée d’actionnaires ?
Réalité ou phantasme ? Une étude y répond.
Je n’avais jamais envisagé l’économie sous l’angle de la violence mais l’idée soutenue par Rajagopal m’a séduit et j’ai immédiatement fait le lien avec les travaux de QuelFutur.
Remplacer ou réparer ? Les repair cafés, plus qu’un phénomène de mode, répondent au triple souci d’économiser son argent, de préserver l’environnement et de se faire des amis.
Absence de recherche en innovation institutionnelle pour l’adaptation à l’absence de croissance économique future. Par contraste, la compétition visant à l’innovation technique reste acharnée. Toujours plus de technique serait la seule solution aux crises. Quelles raisons ?
Environnement, énergie, économie, sociologie et politique, un petit décryptage de la cascade des crises remet en question quelques mythes répandus.
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